Il y a des jours comme ça où on aime se souvenirs de tout ce qu'on a pu vivre. Que ce soit des bons souvenirs où qu'aux contraires se soit des souvenirs qu'on aimerait oublier, des choses auxquelles ont ne voudraient plus penser. Blottit ainsi dans les bras de celui que j'aimais certains de mes souvenirs désagréables étaient belle et bien des souvenirs. Je me souvenais parfaitement de ce que j'avais ressentis durant cette pause. Du début à la fin, je n'avais fais que souffrir d'un martyr sans nom. Je n'exagérais même pas mes propos, je le pensais réellement. On m'avait il y a un, voir deux ans en arrière que j'allais souffrir ainsi de l'absence de quelqu'un, plus particulièrement d'un homme : jamais je n'y aurais cru. J'avais toujours trop eu la tête sur les épaules pour penser un jour au fait que je puisse aimer comme j'aimais Ethan. Et même s'il y avait encore des jours où je me disais que c’était complètement dingue d'être autant amoureuse ...
Frottant mes mains bleuies par le froid de Février, j'expirais l'air gelé, formant alors une espèce de brouillard. Petite lorsque l'hiver était comme aujourd'hui que l'air était aussi froid et que je faisais comme il y a quelque seconde, c'est à dire expirait l'air pour former ce brouillard, je m'amusais à dire que c'était la fumée d'une cigarette. Cela m'amusait plus que ça n'amusait ma mère.
Mais passons … Revenons-en à ce jour d'hiver dans le parc qui ressemblait étrangement à une carte postal et où deux personnes se tenaient l'une contre l'autre pour essayer d'avoir un minimum chaud. Dans ces conditions, je me disais que même coller ainsi à Ethan, il m'était impossible de me réchauffer un minimum.
- C'était bien les vacances de Noël ... J'avais dis ça comme ça ... je ne pensais même pas aux vacances que j'avais passé à ses côtés pour prononcer ça maintenant. Mais maintenant que j'avais prononcé ça j'y pensais. Ca avait était des vacances superbe ... du moins je les avais trouvait superbe. Je ne m'étais pas ennuyé une minute ... et il fallait dire que la présence d'Ethan y était pour beaucoup. Je ne regrettais pas une seule seconde d'avoir passé les vacances de Noël avec lui plutôt qu'avec ma famille.